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  • : Le blog de Juju
  • : Son histoire, ses installations, ses photos, ses vidéos... Quelques informations sur la perruche calopsitte.
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Acrostiche

C comme câline
A comme adorable
L comme libre
O comme opportuniste
P comme pacifique
S comme séductrice
I comme idéale
T comme tendre
T comme théâtrale
E comme étonnante

Bonus

motscrois.gif Merci à Nathalie
pour la réalisation

Mes perruches calopsittes

A travers ce blog, je souhaite partager mon expérience concernant les perruches calopsittes. 

 

C'est en 2003 que j’ai fait l’acquisition de ma première calopsitte femelle prénommée Juju que j’ai gardée pendant 6 ans. Elle s'est éteinte subitement d'un arrêt cardiaque.

 

Depuis sa disparition, Juju 2 est entré dans ma vie pour une courte période car il a disparu suite à un tragique accident. Avec lui, j'ai pu apprendre à nourrir un oisillon à la seringue.

Le dernier arrivé est Titi, petit mâle que j'apprends à découvrir au fil des jours...

comtiti
Avant d'acquérir une calopsitte, il est important de puiser des informations utiles afin de lui offrir la vie la plus heureuse possible. Il ne faut jamais oublier que cette petite boule de plumes est avant tout un être vivant et que vous aurez certaines responsabilités envers elle.

Si vous désirez quelques renseignements supplémentaires, il me fera plaisir de vous répondre selon de mes connaissances.
25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 19:53
Comme le temps passe vite... Titi a maintenant 12 semaines !

Ces derniers jours, j'ai attrapé un rhume. J'évite donc les contacts avec Titi pour ne pas lui communiquer cette maladie qui pourrait lui être fatale.

En attendant, je ne me lasse pas de le photographier tant qu'il a encore son beau plumage de bébé tout perlé.






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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 19:15
L'idée d'apprendre le rappel à un oiseau peu paraître stupide, mais pourtant, cela peut être bien utile si votre oiseau s'échappe.

Voici comment procéder :

Tout d'abord, votre oiseau doit être habitué à connaître son nom. Il faut donc lui répéter le plus souvent possible jusqu'à ce qu'il y soit totalement imprégné. Ensuite peut commencer l'apprentissage.

Posez votre oiseau sur un rebord de fenêtre (fenêtre fermée) ou sur un rebord de chaise.
Placez-vous en face de lui et tendez votre main. Ne le touchez pas surtout, tendez simplement votre main vers lui.
Ne mettez pas votre main trop loin de lui, il faut quand même qu'il puisse y accéder.
Répétez plusieurs fois son prénom pour qu'il monte sur votre main.
S'il y monte, cela veut dire qu'il est attentif et qu'il vous écoute. Dans ce cas là, récompensez-le avec une friandise (millet ou autre). S'il ne prête pas attention à votre main, c'est qu'il n'est pas concentré ou alors qu'il n'a pas compris ce que vous attendez de lui. Rapprochez alors un peu plus votre main de lui. S'il n'y monte pas, ce n'est pas grave.
Retentez l'expérience un autre jour, le tout est de ne pas le forcer.
Si votre oiseau est parvenu à monter sur votre main, puis à grimper sur votre épaule, vous avez gagné deux points de confiance en plus.

Une fois que votre oiseau vient tout naturellement sur vous quand vous tendez votre main vers lui, vous pouvez alors commencer à creuser la distance entre vous et votre oiseau. Autrement dit, vous pouvez commencer à vous éloignez de lui. Répétez le même procédé que pour la première leçon d'apprentissage : appelez votre oiseau, et tendez votre main. Si votre oiseau s'envole et atterri sur votre main, c'est un très bon début. Bien sûr, cela peut prendre un certain temps avant qu'il ne s'envole vers vous. Ne vous découragez pas.

Quand votre oiseau a bien intégré la leçon, vous devez alors vous éloigner de plus en plus de lui et l'appeler.
A chaque fois qu'il s'envole et atterri sur vous, n'oubliez pas de la récompenser (même si vous ne pouvez lui offrir qu'une caresse, il est très important de lui donner une récompense pour le motiver). Ensuite quand vous êtes sûr que votre oiseau maîtrise bien le rappel, placez-vous dans une pièce voisine de celle où vous lui donnez ses leçons.
Ouvrez bien évidemment la porte qui sépare les deux pièces puis appelez votre oiseau.

Petit détail : il ne faut pas que votre oiseau puisse vous voir. Il doit se guider par rapport à votre voix. Bien sûr, ne vous voyant pas, il n'atterrira sûrement pas directement sur vous.
Mais s'il arrive à voler jusqu'à la pièce où vous êtes, c'est déjà parfait !


Sachez tout de même que cet apprentissage est long et qu'il faut beaucoup, beaucoup de patience pour aboutir à ce résultat.
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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 19:09
Même si vous pensez que vous êtes à l'abri, il y a TOUJOURS un risque pour que votre oiseau s'envole par une fenêtre restée ouverte par inadvertance. Ces accidents arrivent le plus souvent en été, car la chaleur nous invite à ouvrir les fenêtres pour aérer les pièces de la maison. Il faut donc savoir ce qu'il faut faire si cela arrive.



Si vous possèdez un jardin, il ne faut pas s'inquiéter tout de suite, en tout cas si votre perruche est apprivoisée. Si vous n'avez pas d'autre animaux dans le jardin, elle ne courre pratiquement aucun risque, mais il peut y avoir des oiseaux de proie pas très loin et il faut faire vite.

Quand vous constatez que votre oiseau est dehors, il ne faut pas paniquer, ni appeler les pompiers. Leur intervention ne serait qu'un stress de plus pour votre oiseau. Rendez vous dans votre jardin TOUT DE SUITE et cherchez votre perruche. Si elle n'est pas sur le sol, elle est forcément perchée dans un arbre de votre jardin (surtout si quelque chose l'a effrayée; elle cherchera alors à se mettre en hauteur. Rares sont les calopsittes EAM qui s'enfuient de votre jardin, car elles voudront malgré tout rester près de vous). Une fois que vous avez localisé votre perruche, appelez-là doucement pour ne pas lui faire peur. Si cela ne marche pas, allez chercher des graines ou alors des friandises qu'elle affectionne tout particulièrement. Il va peut être vous falloir attendre la journée avant que votre oiseau ne se décide à descendre, mais sachez que la faim triomphe toujours et qu'il ne faut pas que vous abandonniez espoir.

Surtout, n'essayez pas d'aller attraper votre oiseau, car celui-ci risque de s'envoler vers un point encore plus haut que l'arbre. Si votre oiseau ne se décide pas à venir vers vous, il faut malgré tout que vous appeliez du renfort. Les pompiers ne sont peut être pas la meilleure solution, mais si vous y êtes obligé, appelez-les. Il se peut que leur intervention réussisse, car ils sont sûrement mieux équipés que vous pour attraper un oiseau (à ce stade-là, attraper l'oiseau de force est la seule solution pour qu'il reste en vie. Sachez que si vous ne faites rien, vous condamnez votre oiseau à mort).

Une fois que vous avez récupéré votre oiseau, il faut que vous le rameniez chez vous et que vous l'isoliez de vos autres oiseaux (il se pourrait bien qu'il ait attrapé une maladie, surtout s'il est resté plus d'une journée dehors). Il faut qu'il soit au calme et qu'il puisse disposer de plus d'eau et de nourriture que d'ordinaire. Il n'y touchera peut être pas, car il sera certainement choqué, mais peu à peu, il retrouvera de l'appétit.

Heureusement, d'autres solutions existent pour éviter des accidents comme celui-ci : mettre un grillage aux fenêtres, ne pas sortir l'oiseau de sa cage quand il fait beau et qu'il faut ouvrir les fenêtres, ou encore apprendre le rappel à votre oiseau .

Comment réagir ?

1= Si possible ne la perdez pas de vue, restez près d'elle car si elle est apprivoisée, peut-être qu'il reviendra-t-elle vers vous.

2= Essayez de lui parler très doucement pour la convaincre de vous rejoindre.

3= Si cela ne fonctionne pas, sachant que normalement elle devrait rester aux alentours, sortez sa cage avec sa nourriture et une branche de millet. En voyant sa cage, elle voudra peut-être y revenir.

4= Au cas où vous le perdez de vue, vous devez prévenir les voisins, téléphoner dans les animaleries et les vétérinaires,  poser des affiches partout.

5= Si votre calopsitte a un compagnon ou une compagne à plumes, sortez-le dans un transporteur ou dans une petite cage, ses cris pourraient la ramener vers vous.

6= Il serait préférable d'avoir dans votre ordinateur une affiche que vous aurez préparée d'avance pour pouvoir en imprimer des copies rapidement.

7= Gardez espoir, ne vous découragez pas et surtout ne jamais abandonner.

Voici quelques informations qui devraient apparaître sur vos affiches.

Photo de votre calopsitte
Son nom
Sa mutation
Apprivoisée ou pas
La façon de l'approcher
Sa nourriture préférée
Votre nom
Votre adresse
Téléphone à la maison
GSM
Moment où l'on peut vous rejoindre.


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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 19:04

Il y a une chose que les calopsittes adorent, c'est que leur gratte les plumes du cou !

 

Les oiseaux en couples se le font mutuellement. Mais ce sont des câlins qu'ils apprécient particulièrement, surtout s'ils sont seuls et qu'ils vous connaissent bien. Ils viennent en quémander, et resteront facilement 10 minutes, un quart d'heure sous vos doigts.

Ne vous privez donc pas !


L'apprentissage des câlins se fait petit à petit : plus vous ferez de caresses à  votre oiseau, plus vite il appréciera et plus vite il en demandera.
Dans un premier temps, il faut que votre oiseau soit habitué à votre main, et qu'il n'en ait pas peur. Une fois qu'il y est habitué, il faut lui caresser le dos doucement mais jamais le ventre : en général, les oiseaux n'aiment pas qu'on leur touche le ventre (et les pattes non plus). Au début, votre oiseau cherchera à éviter votre main, et voudra se réfugier sur votre épaule. Mais, au fur et à mesure, il va accepter le fait qu' une caresse n'est pas une épreuve mais un moment de plaisir.

Ensuite, lorsqu'il accepte de se faire caresser le dos (cela peu prendre un certain temps : NE VOUS DECOURAGEZ PAS), il faut commencer à lui gratter dans le cou. S'il vous pique avec son bec, n'insistez pas : il peut prendre votre geste comme une déclaration de conflit et ne pas comprendre que c'est exactement ce que ferait sa/son compagne(on) comme geste de toilette mutuelle. Cependant, il faut perpétuer ce geste tous les jours, sans jamais trop insister.
C'est normal que les premiers jours du nouvel apprentissage il vous repousse.
Mais peu à peu, si vous passez pas mal de temps avec lui, les liens entre vous et  vont se resserrer, et il finira enfin par accepter que vous lui fassiez des gratouilles dans le cou.

Bientôt,  il vous réclamera, en inclinant sa tête sur le côté, des gratouilles dans le cou...
Tout est une question de patience et de psychologie. Si, à la fin de l'apprentissage, votre oiseau pousse même un petit cri de satisfaction, c'est que cela lui fait vraiment plaisir d'être en votre compagnie, et qu'il vous considère comme son compagnon.

Quand votre oiseau a une totale confiance en vous, vous pouvez sans problème lui faire des bisous. Normalement, il devrait les accepter. Sinon, soyez patient. Cela viendra assez vite maintenant qu'il vous fait confiance.

ATTENTION
A tous ceux qui veulent appliquer cette technique d'apprentissage, surtout ne brusquez JAMAIS votre oiseau. Sa confiance en vous serait alors anéantie. Il faut toujours faire attention à ne pas exiger trop de lui d'un seul coup.
Le maître mot est PATIENCE.
Plus vous laisserez du temps à votre oiseau, meilleurs seront les résultats.
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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 18:36
La perruche calopsitte, à l'état sauvage, se nourrit principalement de graines dans les arbres et de fruits. Lors de la sécheresse, elles se rabattent sur les champs de millet où elles trouvent toujours leur bonheur. Le repas d'une perruche calopsitte est donc très varié. Il faut pouvoir lui proposer tous les fruits et légumes possibles, mais en petite quantité, et en tenant compte que certains sont nocifs pour sa santé.

Ce qui se mange :
- pomme en rondelle ou en quartier, mais aussi en compote.
- banane, en petite quantité et de temps en temps car c'est calorique. Elle doit être bien mûre (la peau commence à être tachetée), mais pas pourrie.
- raisin, un grain suffit.
- prune, mirabelle, …
- plantain, qu'on peut en cueillir à l'automne.
- salade verte lavée, mais pas mouillée. Un petit bout de feuille suffit.
- gâteau, biscuit, du moment qu'il est "nature" (ni sel ni chocolat, …). A donner avec modération, car c'est assez gras.
- biscotte, pain dur, pain de mie. Une petite tranche entre 2 barreaux. Plus c'est dur, plus c'est bon ! Mais aussi avec modération.

Voici quelques légumes et fruits que vous pouvez proposer à votre oiseau :

- la pomme
- le kiwi
- les fruits rouges tels que les fraises, les cerises, etc...
- la prune
- la mandarine
- le raisin
- la pêche
- l'ananas et autres fruits exotiques
- la carotte (proposez-la râpée si possible)
- le radis
- le concombre
- la betterave rouge
- l'aubergine
- le céleri
- les pois


ATTENTION 
Certains aliments sont à proscrire !

Alcool
Thé
Café
Avocat
Chocolat
Pomme de terre crues
Persil
Oignons crus
Tous les produits laitiers
Viande crue
Volaille crue


- le chou (blanc, fleur, chinois et tous les autres)
- la laitue (elle n'est pas interdite, mais elle est plutôt à donner en petite quantité)

Curieuse la calopsitte serait prête à goûter à tout. Mais tout n'est pas bon pour elle. Il y a des mets qui lui sont toxiques, ou mauvais pour sa santé, et même si elle aime, mieux ne vaut pas lui donner n'importe quoi.
 
Ce qui ne se mange pas :
- les fruits acides (orange, citron, clémentine, …)
- les fruits apéritifs, car salés (cacahuètes, …)
- ce qui est salé ou contient du chocolat.
- les plantes vertes dans la maison, elles peuvent être toxiques. Ne les laissez pas les grignoter.
 
Ne vous étonnez pas si votre calopsitte ne touche pas d'emblée à la nouvelle nourriture proposée. Au début elle ignorera sûrement la présence de fruits dans son auge et n'y goûtera pas. Mais un jour peut être, une semaine ou un mois, elle y goûtera. Il faut s'armer de patience et attendre qu'elle s'y habitue. Il faut tous les jours lui en remettre, même si elle n'y a pas touché, car les fruits pourrissent vite à l'air libre (surtout la pomme).

Les oiseaux peuvent se montrer très gourmands, mais le plus difficile est de leur faire gouter un nouvel aliment.

Il y a une technique assez simple, c'est d'en manger devant eux. Poussés par la curiosité et certain que ce n'est pas toxique, il suffit qu'un seul tente de gouter et apprécie suffisament pour y retourner, et tous les autres suivront !

 

La boule à friandises

Voici un moyen de donner des fruits à votre oiseau, sans qu’il ne puisse le faire tomber et donc gâcher. Pour cela, utilisez une boule à grelot.  C’est par les trous qu'on y rentre les morceaux de fruits coupés en cubes. Il ne reste plus qu’accrocher la boule aux barreaux de la cage avec un anneau de porte-clef. On peut y mettre des fruits, du pain, … et ils apprennent très vite que ce qu’il y a dedans.

On peut  améliorer les boules à friandises, pour les rendre plus facile à remplir et plus longues à vider !
 
La boule est accrochée à un anneau de porte clé, lui-même sur un rond de plastique. (On les trouve sur les porte-manteaux pour indiquer la taille du vêtement). Et c'est cette rondelle qui est accrochée à un barreau de la cage. On peut ainsi plus facilement enlever et remettre la boule pour la remplir tranquillement sans être assailli pas les oiseaux gourmands.
 
Une autre variante est de ne pas accrocher directement la rondelle à la cage, mais à une ficelle liée à une autre rondelle cette fois-ci fixée à la cage. Ainsi la boule pend dans le "vide" et est un plus difficile à attendre et donc rend ses friandises encore plus désirées.
Cela peut aussi leur apprendre à être encore plus débrouillard.
Mais laissez au moins une boule contre un bord de cage pour permettre aux moins dégourdis de pouvoir quand même profiter des friandises

 

Et si malgré tout, un des oiseaux refuse catégoriquement de gouter (ce qui est rarement le cas), et s'il s'agit d'un fruit, on peut récupérer un peu de jus sur son doigt pour en déposer sur le bec du récalcitrant. Ainsi, on est sûr qu'il y a au moins gouté, mais si vraiment il n'aime pas, mieux ne vaut pas le forcer.



Bien sûr, il n'est pas nécessaire pour une calopsitte de savoir apprécier les fruits.
Heureusement, celle-ci a principalement besoin d'un mélange de graines pour avoir une bonne santé. En général, toutes les calopsittes savent bien décortiquer les graines. Mais il arrive parfois que les bébés aient du mal avec les graines, surtout celles de tournesol.




Il faut donc leur donner du millet rouge, qui se décortique très facilement. Une fois que votre oiseau sait mieux décortiquer les graines, il faut lui acheter un mélange Spécial Grandes Perruche qu'on trouve dans les animaleries.
Ce mélange contient tous les nutriments importants pour que votre calopsitte grandisse bien.
En général, on y trouve du millet blanc, des graines de tournesol, des gruaux d'avoine, de l'alpiste, du chevenis et du riz paddy.  Il faut aussi donner du millet jaune à votre calopsitte car, même si beaucoup le considère comme une friandise,  le millet est à considérer comme un aliment essentiel dans l'alimentation des perruches.


A retenir :

1. millet et assortiment de graines pour grandes perruches. C'est la nouriture de base.

 

2. compote qu'elles savent manger à la cuillère et récupérer ce qu'il reste sur le couvercle!

3. salade verte (un peu). Pour grignoter et avoir le bec tout vert !

4. pain et biscuits : elles en raffolent ! Mettre un gros morceau coincé entre deux barreaux.

5. fruits de saison : des raisins, des prunes, pommes, poires.... Ce qu'il faut, c'est pas trop leur en donner pour éviter le gâchi, et enlever un peu de la peau si la chair n'est pas tout de suite accessible. Par contre, mieux vaut  ne pas leur donner des fruits trop acides, comme les oranges et citrons.

6. plantain. Un par jour et par oiseau, pour faire le plein de vitamines ! Ils adorent ça et sont près à tout pour en avoir!   Même la tige est décortiquée !

 


 

Les calopsittes ont un faible pour le bois, elles ne peuvent s’empêcher de le grignoter. Pour elles, manger la branche sur laquelle elles sont perchées ne les dérangent pas.

Pour éviter qu’elles ne se fassent mal et qu’elles se retrouvent sans perchoir, il faut qu’elles grignotent autre chose. On peut donc récupérer de petits bouts de branches fixés sur un crochet, qu'on suspend un peu partout dans dans la cage.

 

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 18:04
La cage est le lieu où il va passer la plus grande partie de son temps, il faut donc qu’elle soit adaptée.
Il faut qu’il puisse y étendre complètement ses ailes. On conseille généralement des barreaux horizontaux sur au moins deux parois pour qu’ils puissent grimper facilement.
La cage acquise, il ne manque plus qu’à l’équiper de tout le confort nécessaire que votre oiseau puisse rêver !
 
Les accessoires indispensables :
- barreaux : disposez-les dans la cage de façon à ce qu’aucun ne soit l’un au-dessus de l'autre, afin d'éviter que ceux du bas soient souillés. Si vous en avez la possibilité, remplacez les barreaux de plastique par du bois ou des branches (environ l’épaisseur du pouce). Evitez toutefois d’en mettre plus d’un en plus de ceux initialement prévus pour la cage. Vous pouvez aussi les placer légèrement inclinés.
- mangeoire(s) : une à plusieurs en fonction de leur taille, et du nombre d’oiseaux. Il est aussi pratique d’en avoir plusieurs pour ne pas mélanger leur contenu (par exemple : une pour les friandises, l’ (les) autre(s) pour les graines). Il ne faut pas qu’elles aient de couvercle, car la calopsitte ne voudra/pourra pas y mettre sa tête.
- abreuvoir : placé près d’un barreau, facile d’accès aussi bien pour votre (vos) petit(s) protégé(s) que pour vous. L’eau doit être changée régulièrement. C’est généralement par cette eau qu’on leur administrera les vitamines ou les médicaments.

Voici une
liste de ce qu'il faut posséder avant tout dans une cage pour que votre calopsitte se sente bien :

- des perchoirs : essentiels au bon développement de l'oiseau.
Ils contribuent à l'usure naturelle des griffes, des pattes et du bec.
On trouve, en général, quatre types de perchoirs en animalerie :

- les perchoirs en bois de forme circulaire qui sont fournis avec la cage (deux, trois ou quatre,cela dépend de la taille de la cage et peuvent sinon être achetés ultérieurement).

- les perchoirs en bois dit "naturels" (autrement dit, qui possèdent encore l'écorce)

- les perchoirs thérapeutiques : ils sont, en général, faits de granit ou de pierre ponce, et cesont les perchoirs idéaux pour la bonne usure des griffes et du bec de l'oiseau.
Le prix varie en fonction de la
taille.



-
les perchoirs recouverts de papier de verre ou autre surface qui soit-disant usent les griffes plus facilement que les autres perchoirs.
Ces perchoirs-là peuvent êtres dangereux.
Ils ne conviennent pas pour le dessous des pattes de l'oiseau.
Peut-être permettent-ils une meilleure usure des griffes (cela reste à prouver) mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est que ces perchoirs usent la peau sous les pattes, ce qui peut entraîner des saignements et parfois des infections.
Alors, si vous pouvez éviter certains problèmes, ne prenez pas des perchoirs comme ceux-là, et préférez les perchoirs "traditionnels".

- le distributeur d'eau : il est essentiel à la calopsitte qu'elle puisse se désaltérer.
Même si les calopsittes ne sont pas de grandes buveuses (à l'état sauvage, elles boivent larosée du matin sur les feuilles des arbres ou dans des flaques d'eau; il leur arrive de ne pas boire de la journée, lors de la sécheresse par exemple), ce n'est pas une raison pour les laisser assoiffées
!

Au débu
t, quand votre perruche vient tout juste d'arriver chez vous, elle ne comprendra pas tout de suite le rôle du distributeur d'eau. Il faudra donc lui mettre à la fois un distributeur et un petit bol d'eau au fond de sa cage.
Peu à peu
, votre perruche va s'intéresser à cet objet étrange et va constater qu'il contient de l'eau. Une fois qu'elle aura compris le système, il lui sera très simple de boire au distributeur. Dans ce cas, il faudra arrêter de mettre le bol d'eau dans la cage, sinon la calopsitte préfèrera la facilité et ne boira pas longtemps dans le distributeur.

Les prix des distributeurs d'eau varient selon la taille de l'oiseau. Pour une perruche calopsitte, l'achat d'un distibuteur d'eau varie entre 3 et 6 euros selon les animaleries et selon les marques.



-
les mangoires : ce sont les mangoires dans lesquelles sont disposées les graines. Elles sont donc l'un des accessoires essentiels les plus importants. En général, tout comme les perchoirs circulaires, les mangoires sont vendues avec la cage, qui possède des endroits spécifiques adaptés à celles
-ci.


Les besoins premiers de votre(vos) petit(s) protégé(s) comblés, pensons à son/leur confort :
 
Les accessoires fortement recommandés :

- un os de seiche ou une coquille d’huître : Ils servent à l’oiseau pour s’user le bec et sont source de calcium. Ils servent aussi un peu de jouet. L’os de sèche peut se trouver sur les plages ou en animalerie, elle est plus appréciée par les oiseaux, mais s’use plus vite que la coquille d’huître.



- un miroir et une clochette : surtout si votre oiseau est seul.
- quelques jouets : histoire de triturer quelque chose et de s’occuper. Les animaleries vous en proposeront un large choix, et un rien attire leur curiosité : anneaux de porte-clés, grelots et clochettes, branchettes à grignoter, échelle, pinces à linge en guise de mini-perchoir…


Evitez toutefois de surcharger la cage. Si vous donnez la possibilité à votre oiseau de sortir de la cage, vous pouvez en placer quelques uns à l’extérieur de celle-ci.
 
Les accessoires qui font plaisirs :
- les boules à friandises : à garnir assez souvent mais sans excès, elles feront le régal de plus d’un !



- une balançoire : de par sa conception, ce sera la balançoire qui sera la plus haute « branche » où ils aiment être. De plus, ça bouge et c’est bien pratique pour se bercer à l’heure de la sieste ! Placez là donc en hauteur et assez facile d’accès, en évitant qu’elle soit au dessus d’un barreau qui risquerait d’être souillé.



Les calopsittes comme beaucoup d'oiseaux, apprécient de se baigner, et il y a plusieurs moyens à votre compagnon à plumes pour faire sa toilette.  De préférence, évitez de le baigner par temps frais, pour qu'il ne prenne pas froid. Chaque oiseau est plus enclin à l'une ou l'autre de ces méthodes, à vous de voir celle qu'il préfère.

- la baignoire : on peut en trouver dans les animaleries. Un conseil, accrochez-la bien, car une calopsitte en colère va passer ses nerfs sur ce qu'elle trouve et décrocher les accessoires. Même si avec une mangeoire ce n'est pas très grave, imaginez le résultat avec une baignoire et toute l'eau qu'elle contient…



- le pulvérisateur : ceux pour plantes sont tout à fait adéquats, il faut juste s'assurer qu'il n'a contenu que de l'eau (pas d'engrais, d'insecticide, …). Evitez l'eau gelée ou bouillante, et pulvérisez doucement vers l'oiseau, sans être trop près, tout en observant son comportement. S'il recule craintif, cessez, car il n'apprécie pas. Mais si au contraire il s'approche de vous en exposant toute les partie de son corps au jet, c'est qu'il aime bien ça.
- la "rosée" : pulvérisez de l'eau sur le dessus de la cage, pour que des gouttes d'eau se forment sur les barreaux. L'oiseau va venir se rouler dessus pour se nettoyer, comme il le fait dans la nature avec la rosée du matin. Les recommandations sur le pulvérisateur sont les mêmes que pour la méthode précédente.

Voici quelques conseils pour trouver un emplacement pour la cage de votre nouveau compagnon à plume :

 
- Du point de vue fréquentation :

Evitez de placer la cage dans un lieu trop fréquenté (couloir par exemple), votre oiseau ne pourra pas être au calme, mais aussi les lieux peu fréquentés la journée, car il s’y ennuiera. La living peut très bien convenir.

 
- Du point de vue des risques :

Installez votre oiseau dans la cuisine est à proscrire, aussi bien pour sa sécurité que pour l’hygiène. Evitez aussi de le placer dans une pièce où il pourrait être en danger lors de ses sorties.

 
- Du point de vue température :

Il ne doit avoir ni trop chaud, ni trop froid, donc la cage ne doit pas être juste à côté d’un chauffage, d’une fenêtre, ou dans un courant d’air.

 
- Du point de vue hauteur :

La calopsitte comme tous les oiseaux apprécie plus d’être en hauteur, qu’au raz du sol. Mais une cage trop haute ne lui permettra pas de vous voir facilement ce qui n’aidera pas sa sociabilisation. La positionner à hauteur des yeux environ est un bon compromis.

 

Pour le confort de votre compagnon à plumes, il est nécessaire de nettoyer régulièrement sa cage et ce qu’elle contient. Voici donc un petit récapitulatif de ce qu’il y a à faire et à quelle fréquence :

 
- tous les jours

Vérifiez la propreté de l’eau de boisson et du bain, la changer si nécessaire.

Assurez-vous que les mangeoires sont amplement approvisionnées. Il se peut que les graines soient recouvertes par une couche d’enveloppe vide, soufflez alors doucement dessus pour la faire partir (mais ça a tendance aussi à en mettre partout).

Retirez les friandises de la veille qui se sont gâtées (salade, fruit,…).

 
- une fois par semaine

Nettoyez le fond de la cage. Pour vous faciliter la tache, il existe des cages avec un (ou plusieurs) tiroir de fond. Il suffit de le garnir d’une feuille de papier journal découpée dans les bonnes dimensions. Ce sera donc le papier qui sera souillé, et non le fond de la cage, facilitant le ménage.


Si votre oiseau est encore jeune, nourrit à la pâtée, il fait des fientes liquides, l’entretien est légèrement différent. Une nouvelle feuille doit garnir le fond de la cage après chaque repas, pour qu’il ne soit pas continuellement dans ses déjections alors qu’il n’est pas encore capable de rester sur un barreau. Vous retirer l’ensemble des feuilles régulièrement (tous les deux jours environ).


Certains accessoires barreaux ou parois de la cage peuvent avoir été souillés par vos oiseaux, il faut les nettoyer voir les déplacer (éviter de placer un accessoire sous un barreau). De l’eau claire suffit, et il est plus facile de faire partir les fientes séchées si elles ont été préalablement humidifiées.

Enfin, il faut aussi s’occuper des environs de la cage. Graines mangées ou non, plumes, poussières… ils ont tendance à en semer un peu partout. Tant que vous n’heurtez pas le support de la cage, ils n’auront peur ni du balais, ni de l’aspirateur, même s’ils se montrent intrigués par cette drôle de bestiole. 

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 17:59

Avant d’acheter une calopsitte, mais aussi dans la vie de tous les jours, il est important de savoir si elle va bien.

Voici quelques signes qui ne trompent pas.

 
Si elle va bien :

- Elle fait régulièrement sa toilette. Un plumage propre est essentiel pour elle. Elle va donc, au cours de la journée, passer toutes ses plumes en revue sans en oublier une seule.

- Elle est active et/ou chante. Elle va triturer ses jouets, regarder ce qui se passe, picorer une ou deux graines, bref, elle ne s’ennuie pas. Et en plus, s’il y a du soleil, elle aime bien chanter.

 
Si elle ne va pas bien :

- Elle reste toujours à la même place, en train de somnoler (à ne pas confondre avec ses siestes). Elle ne bouge pas et ne s’intéresse pas à ce qui l’entoure. Elle s’ennuie ?

- Il lui manque des plumes, et elle se les arrache. C’est du picage, elle ne va pas bien du tout !

- Les plumes autour du cloaque ne sont pas propres, elle a des croûtes autour du bec, un plumage peu soigné,… Elle est malade ?

- Elle est bruyante (à ne pas confondre avec le chant), et appelle sans raison apparente. Elle a un problème ?


B
ien que les perruches calopsittes tombent rarement malades, il faut tout de même savoir quecela peut arriver. Bien sûr dans la pluspart des cas, il faut emmener l'oiseau chez le vétérinaire pour un examen complet. Mais il est utile de savoir déceler les signes d'une maladie.

Voici quelques conseils :

En général, lorsque les calopsittes sont gonflées, dans un coin de leur cage (ou de la volière)et refusent de s'alimenter, il y a maladie.
Bien sûr, si tous ses signes sont observés, il ne faut pas s'inquiéter tout de suite.
Il n'y a pas forcément maladie mais peut être un coup de blues ou simplement une fatigue de l'oiseau. Le mieux est de surveiller l'oiseau pendant 24h et observer l'évolution.
Si son état ne s'améliore pas, il faut alors emmener l'oiseau chez le vétérinaire.
S'il y a suspicion de maladie et que vous possédez un élevage, il faut absolument mettrel'oiseau "en quarantaine" pour éviter qu'il ne contamine les autres.
Autrement dit, il faut isoler l'oiseau du reste du groupe et le mettre dans un endroit calme et reposant pour évaluer son état.
Lorsqu'il y a maladie, les selles de l'oiseau seront en général de bons signes révélateurs de l'état de celui-ci.
Si elles sont anormales, trop liquides ou absentes (peut être une constipation), il faut immédiatement emmener l'oiseau chez le véto. Sa vie en dépend.

Un exemple de maladie "bénigne" (le terme ne convient pas forcément) : si l'oiseau a les narines obstruées ou s'il éternue beaucoup, il a peut être un rhume. Dans ce cas, le mieux estde mettre l'oiseau dans une pièce chauffée plus que d'ordinaire ou alors d'utiliser une lampe à infrarouge que l'on placera près de la cage. Il est aussi bon pour lui d'avoir une boisson chaude. Le thé à la camomille convient parfaitement.

Attention : qui dit "éternuements" ne veut pas toujours dire "rhume". En effet, les calopsittes produisent beaucoup de poussières avec leurs plumes et il se peut qu'elles éternuent à cause de cela. Ne vous inquiétez donc pas trop vite.

En tout cas, mieux vaut prévenir que guérir. Une perruche correctement entretenue (nettoyage de cage au moins une fois par semaine et désinfection totale de la cage une fois par mois) a beaucoup moins de risques de tomber malade qu'une perruche négligée. Par ailleurs, pour enlever les bactéries, la calopsitte a absolument besoin de se laver.
Mettez-lui de préférence un plat dans lequel on fait couler deux centimètres d'eau tiède (attention aux coups de froid).
Le matin est un moment idéal pour la toilette (ainsi la perruche a la temps de sécher pendant la journée).
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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 17:46
Pour certaine personnes, l'arbre à oiseaux n'est d'aucune utilité, pour d'autres il est indispensable.

L'arbre à oiseau sert à la base, comme aire de jeu pour la perruche.
De plus, comme les calopsittes sauvages vivent dans les forêts australiennes, l'arbre à oiseaux est en quelque sorte une reconstitution du milieu naturel.

Mais qu'est-ce  vraiment un arbre à oiseaux ?
L'arbre à oiseaux se présente sous différentes formes, on peut en acheter un en animalerie (en général, les prix sont élevés; cela peut monter jusqu'à 120 euros)
Cet arbre se présente avec une grande tige métallique à roulettes, un grand plateau de métal pour éviter que les fientes ne tombent à terre et des perchoirs métalliques soudés dans le reste de la tige qui dépassent du grand plateau.



On peut aussi fabriquer soit même son arbre à oiseaux.
Pour celui-ci, sur la photo, j'ai utilisé une souche de noisetier (les arbres fruitiers non traités sont excellents pour les perruches) et des perchoirs de bois naturels.
Puis j'ai rajouté des jouets à suspendre.




L'arbre à oiseaux n'a pas ses "effets thérapeutiques" tout le temps !
Une calopsitte  préfère se mettre sur l'épaule de son maître.
J'ai placé l'arbre à oiseaux dans le living. Du coup, ma perruche voit tout ce qui se passe autour d'elle et ne se sent jamais seule.

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 17:43
Il y en a de toutes formes et de toutes tailles; ce qui laisse un choix très varié.
Dans les animaleries, on peut se procurer différents types de jouets : des échelles à suspendre, des balançoires, des chaînes auxquelles sont accrochées des petites formes géométriques en bois et une clochette, des anneaux de bois entrelacés, des cordages,...



Impossible de tous les citer tellement ils sont nombreux.
Le choix des jouets se fait au goût de chacun,
- soit pour des raisons esthétiques (en général, le rayon jouets pour oiseaux en animalerie attire grâce à la diversité des couleurs),
- soit pour des raisons pratiques (pas assez de temps à accorder à l'oiseau), ou encore pour tout simplement développer la curiosité de l'oiseau.


Si vous décidez d'offrir un jouet à votre oiseau, préparez votre porte monnaie !
En général, les jouets sont assez chers pour les grandes perruches (et pour les perroquets), mais l'avantage est avant tout la bonne qualité du jouet.
Les prix varient de 3 à 7 euros pour un jouet  "normal" ou de taille moyenne, et peut allez jusqu'à 20 euros pour les plus élaborés.

Mais si vous le souhaitez, vous pouvez fabriquer vous-même les jouets pour votre oiseau. Il suffit d'un peu d'imagination et de sens pratique pour faire le bonheur de votre perruche.





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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 17:39
Une fois le long/court transport achevé, vous arrivez enfin chez vous. Surtout, ne brusquez pas votre oiseau : le mieux est de le laisser dans sa cage le premier jour, le temps pour lui de s'habituer à son nouvel environnement.

Après 2 ou 3 jours d'attente, vous pourrez le laisser voler librement dans une pièce dépourvue de tout danger.

Au début, ne le faites pas voler dans toute votre maison. La grandeur des pièces pourraient l'impressionner et il ne se sentirait pas rassuré, surtout si sa cage n'a pas été bougée depuis votre arrivée (ce qui est fort bien pour son équilibre). De plus, vous aurez moins de mal à l'attraper s'il vole dans une petite pièce.

Petit conseil : si vous n'arrivez pas à le ramener dans sa cage, laissez-lui le temps d'y revenir de lui-même. D'instinct, il y retournera, soit pour boire ou manger, soit pour y dormir.


ATTENTION
: Ne saisissez jamais votre oiseau par derrière. Celui-ci se sentirait attaqué, car leurs prédateurs les attrapent ainsi dans la nature. Ce serait bête de détruire dès les premiers jours la confiance que commençait à vous accorder votre calopsitte.
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Un grand vide

Ma juju adorée, pourquoi m’as-tu quittée sans prévenir ce 11 juin 2009 ?
Tu étais mon amie, ma confidente, ma petite boule de plumes , mon petit pot de colle.
Que s’est-il passé ? Hier encore, tu as sauté dans le canapé pour venir me rejoindre et je t’ai dorlotée. Tu semblais comme à ton habitude, un rien taquine, un rien câline...

Juju, tu es partie rejoindre les étoiles ! Jamais je ne t'oublierai.

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